[RP SOLO 2] Une nouvelle technologie ?

Kzanadeus, qui, comme à son habitude, s'était endormi sur son clavier, fut réveillé par un de ses collegues. On lui expliqua qu'une mission d'exploration avait trouvé un ancien parchemin plutôt prométteur. Immédiatement il se réveilla, fini sa tasse de café froide et partit en direction du musée de la base.

En chemin il tomba sur Karine, sa collegue, qui, cette fois, n'eut pas le temps de railler le scientifique.

Une fois au musée il alla voir Michel, le responsable du musée et de toutce qui touchait à l'archéologie de la base. Michel était très fin et assez petit, il portait des lunettes bien ronde. Ses connaissances étaient impressionnantes. C'est comme si il n'oubliait jamais rien. Dès que Kzanadeus le vit il l'interpella.

- Michel ! Alors vous avez trouvé quelque chose de sympas ?
- Tout à fait, c'est un parchemin d'une technologie des Anciens. Répondit-il en montrant le bout de papier.
- Du papier ? Les ancien ? C'est assez étrange, tu ne trouve pas ?
- C'est ce que je me suis dis au début mais, en fait ce parchemin n'a pas été rédigé par les Anciens, mais, apparement par une personne à la recherche d'une de leurs technologies.
- Je vois, et tu sais de quel type de technologie il s'agit ?
- Malheureusement, ce dialecte n'est pas très bien connu par notre musée et nos ordinateurs ne nous ont rien sortis de cohérent.
- Dommage, c'est mort alors...
- Non, car nous avons les coordonnées de la dernière planète ou le chercheur, ou archéologue, je n'ai pas très bien compris son status, est allé et il était sur une piste.
- Génial. Qu'est ce qu'on attend pour y aller ?
- ... L'accord.
- Le directeur n'a pas donné son accord ?
- Bien sûr que non, dès qu'il s'agit de sortir du planning prévu, il sort de ses gonds et refuse tout.
- Oui, c'est vrai qu'il fait sa tout le temps, pour ma part, à chaque fois que je vais dans son bureau c'est pour qu'il me réprimande...
- Faut dire que... non laisse tomber. On ira un jour ou l'autre sur cette planète.
- Tu as regardé le planning ? On y va quand ? Et quelle équipe s'y rend ?
- Non j'ai pas regardé, je vais le faire de suite.

[...]

- Si on en crois le planning dans deux ans et quelques et se sera l'équipe quatre.
- Zut.
- Quoi ?
- Ben l'équipe quatre ne vont jamais au bout des choses, ils ont trop peur de tout.
- Euh... de toute façon dans deux ans tout aura changé. Qui sait si notre planète sera encore là...
- Oui c'est vrai j'avais pas réagit.
- Quel boulet...
- Quoi ?
- Non rien.
- Tu sais quoi ? Je vais aller parler au directeur.
- Vas y ! Vas perdre du temps.
- Non j'y vais.

Puis Kzanadeus partit en direction du bureau du directeur. Il frappa à la porte. On lui dit d'entrer.

Pour une fois c'est Kzanadeus qui parla en premier et plus fort que d'ordinaire.

Il parla tout en avançant vers le bureau et une fois à son contact posa les deux mains dessus, se courba un peu mais garda la tête plus en hauteur que celle du directeur.

- Monsieur le directeur, je vous demande de reconsiderer la mission d'exploration sur la planète dont les coordonnées sont insrites sur le papier retrouvé.
- Euh...
- Et je vous promets de ne pas faire d'idiotie pendant une semaine...
- Une semaine... ahahahahah. Le directeur ne put s'empêcher d'éclater de rire. Comme si vous en etiez capable.
- Tout à fait.
- Prouvez le et on en reparlera.
- Très bien, si je ne vous apporte aucun ennuie pendant une semaine, vous organiserez la mission au plus vite.
- D'accord ... d'accord, tout ce que vous voulez tant que vous me laissez tranquille pendant une semaine.
- Je vous le rappelerais.

C'est donc sur cette phrase que Kzanadeus quitta le bureau comme une tornade. Il partit en direction de son laboratoire tout en se demandant comment il allait faire pour ne faire aucune idiotie pendant une semaine alors qu'il savait pertinnement qu'il en faisait plus d'une par jour. Une fois dans la laboratoire, il fit quelques recherches sur son ordinateur mais ne trouva aucune idée.

Cette recherche lui avait pris cinq bonnes heures, pendant lesquelles il n'avait pas eu le temps de faire quoi que se soit de nuisible. Il allait se rendre au réfectoire lorsque Karine entra dans la laboratoire.

Elle n'avait pas sa blouse de chercheuse pour une fois mais était habillé en civile. Elle avait un haut affriolant qui laissait percevoir une petite partie de sa voluptueuse poitrine et une jupe assez longue qui lui donnait un charme des plus fous. Dès qu'elle entra dans la pièce elle interpella le scientifique, perdu, une fois de plus, dans ses pensées.

- Kzannnnnnn...
- hein, euh, quoi ? Balbutia Kzanadeus, prit de court, ne s'attendant pas à voir quelqu'un. Comme à son habitude il n'avait pas remarqué la tenue de la jeune femme.
- Alors comme cela tu as reussi à obtenir une mission hors du planning du directeur.
- Ah... Karine, c'est toi... ben... euh... oui. Mais bon...
- Quoi mais bon ?
- Ben la condition c'est que je ne fasse rien de nuisible pour lui pendant une semaine.
- Je sais.
- Comment cela, tu sais ?
- La nouvelle a déjà fait tout le tour de la base. Dit-elle avec un petit sourire narquois.
- Et ben... je suis mal barré... tout le monde va m'en vouloir si je me plante... dit-il en se courbant presque entièrement en deux, l'air dépité.
- NON ! Je ne me planterais pas cette fois ci. Hurla-t-il en se redressant d'un coup et en écartant les bras violement, dont l'un d'eux vint toucher un tube à essais posé sur une table qui s'envola en direction de Karine qui l'attrapa sans le moindre problème.
- Espèce d'idiot... Dit-elle en rigolant.
- Je ne vais jamais y arriver... repondit-il en se repliant en deux a nouveau.
- Je sais comment faire moi.
- QUOI ? Dis moi, s'il te plait. Cria-t-il en se redressant à nouveau d'un coup, mais sans rien toucher cette fois-ci.
- Prends une semaine de congés.
- ?? Hein ? Attends... c'est pas bête... non. C'est même brillant.

Tout au long de ses dernière phrases, les yeux du scientifiques grandirent et devinrent de plus en plus ouverts. Il couru vers la sortie tout en faisant un baisé sur la joue de la demoiselle, qui ne resta pas indifférente à ceci, tout en lui disant qu'elle est merveilleuse.

- Merveilleuse... si seulement, je n'avais pas besoin de te sortir de l'embarra à chaque fois pour que tu t'en rende compte... quand je pense que cette tenue m'a coûté 120 euros et m'a value de nombreuses remarques pour venir jusqu'ici... il est vraiment aveugle celui-ci.

[A suivre]